Les rayons de soleils en pleine gueule. Tu parles d'un réveil. Tu soupire et te tournes sur le côté avant de refermé les yeux. Seulement quelque chose bloque la descente de tes paupières. Un sorte de masse, posée là à côté de toi. Tu fronces finalement les sourcils et te redresse dans le but de t'asseoir. Et ton regard tombe à nouveau sur la bosse formée sous la couverture à côté de toi, tu passes une main dans tes cheveux courts et blonds, voire blancs, les ébouriffants alors qu'ils sont déjà dans tous les sens. Un soupire s'échappe de tes lèvres et tu essaies de te souvenir. Seulement.. trou noir. Bien. Tu sais que t'es sorti hier, tu sais que t'as bu, beaucoup et tu sais que t'as joué à la bouteille avec tes potes. Et après.. Oh oh.. Voilà exactement les deux mots qui résonnent actuellement dans ta tête. Bien qu'ils s'envolent vites. Tu hausse les épaules et te relève, enfilant un t-shirt large et un jogging en guise de bas. tu sors de la chambre pour aller te poser sur le pseudo balcon et te fumer une clope, histoire de te réveiller correctement et.. de te remettre les idées en places. T'as même pas pensé à regardé le visage de l'autre personne. Tant pis. De toute façon t'as du passé une bonne soirée, si cette personne est encore là. Hein hein.. Il n'y a plus qu'à attendre son réveil.

Hier, cela avait été une soirée plutôt agitée et mouvementée. Je ne me souvenais pas trop bien de ce qui s’était passé. Certes, une soirée avec beaucoup d’alcool, le jeu de la bouteille avec des défis plus ou moins osés. Bien sûr, les défis osés tombaient toujours sur Moi… Bah bien sûr ! Encore dans mon sommeil, j'essayais de me souvenir de cette soirée mais rien… Trou noir. Pas très grave. C’est alors, que je baille et m’étire puis je me relève en posant mes mains contre le drap. J'ouvris grand les yeux : ça, ce n’était pas chez moi. Vu l’état du lit et le lieu où je me trouvais, j'eus quelques idées derrière la tête. J'avais dû coucher avec quelqu’un. Cela ne me faisait ni chaud ni froid. Encore toute nue et sans aucune pudeur, je décide de me lever et de rejoindre cette personne sur le balcon, je passe mes bras autour de sa taille et me colle contre elle. Tandis que ma tête passe sur l’épaule de la personne, qui était donc une femme. Je ne pensais pas qu’une telle soirée allait se terminer ainsi. Je lui adresse alors un de mes plus beaux sourires charmeur. J'étais encore tout nue mais ce n’était pas ce qu’il me gênait. Mon corps nu était complètement coller au dos de l’autre femme. Et donc, ton prénom ? Je lui souris encore, je faisais exprès de positionner de manière assez proche mon visage du sien. Juste pour voir sa réaction ahaha.

T'es là, perdue dans tes pensées à essayer de te remémorer ta soirée qui semblait mouvementée. Mais avant que tu ne trouve de réponses à tes questions tu sens deux bras fin passer autour de ta taille. Tu ne bronches pas, après tout t'as déjà passé la nuit avec, c'est que sa compagnie n'est pas désagréable. Non tu n'es pas le genre de personne à ramener n'importe qui chez toi et te retrouver horrifié le lendemain. Un fin sourire étire tes lèvres à l'entente de ses paroles alors que tu expire un dernier nuage de fumée en jetant le cadavre de ta cigarette par dessus le balcon. Tu tourne le regard, tu n'as pas besoin faire trop d'effort, son souffle s'écrase déjà sur ta joue. « Je l'avais envisagé, mais pas prévu. » On ne peut jamais vraiment prévoir comment se terminera une soirée, t'es assez bien placée pour le savoir. Son corps nu contre ton dos te fait légèrement frissonner. Ton sourire ne s'efface pas et à sa question, tu pivote doucement pour te retrouver face à elle. Tu balaye son corps du regard avant de rapprocher son visage du sien, lentement. « Essaies de deviner ? » Oui, t'es d'humeur joueuse.

J’avais passé une soirée agitée, je me réveillais dans un lit et une chambre qui n’était pas à moi. Aïe, moi qui m’étais juré d’arrêter les soirées comme ça, j’avais encore craqué. Mais bon, c’était plutôt cool. Je sors du lit et encore toute nue, je rejoignis la femme sur le balcon. Sans aucune gêne, je passe mes bras autour de sa taille et colle mon corps nu contre son dos. Je passe ma tête sur son épaule et le fixa, un jolie sourire charmeur apparut sur mon visage. Elle tourna la tête et la femme prit la parole. « Je l'avais envisagé, mais pas prévu. » Je ris légèrement puis la blonde se tourne vers moi, je m’écarte un peu, lui dévoilant encore une fois mon corps nu. L’autre femme regarda mon corps, puis elle approcha son visage du mien lentement. « Essaies de deviner ? » Je souris, puis mes mains se posèrent sur ses hanches, rapprochant mon corps du sien. « Je ne m’en souviens pas… » Je souris, provocatrice puis je passe ma main dans mes cheveux. Je te pousse contre le mur et frotte légèrement mon corps au tien. « Et si tu m’aidais à deviner… ? » Je mords ma lèvre puis finit par sourire finement, amusée par la situation.

Tu n'a spas pour habitude de ne pas te souvenir de tes soirée mais cette fois ci, t'as un beau trou noir. Ton sourire s'étire quand la jeune femme pose ses mains sur tes hanches, rapprochant son corps du tien. Elle ne s'en souvient pas, dommage. Faut dire que tu ne connais pas le sien non plus, de prénom. « Dommage. » Ou pas, en fait. Pour ce que vous avez fait, le nom n'était pas si important, à vrai dire. Tu laisse ton corps cogner contre le mur froid, ce contact t'arrachant un frisson. Son corps venant se frotter au tien te rend dans un état que tu ne saurais pas vraiment décrire. N'oublions pas que tu viens de te lever, t'es encore un peu dans les vapes, surtout avec ce que t'as du consommer hier soir. Cependant, elle n'a pas eut de mal à trouver un moyen efficace pour réveiller ton corps. Un sourire en coin à sa demande. L'aider à deviner hein ? Un rire en un temps s'échappe de tes lèvres, elle veut juste jouer. Alors, vous allez jouer. D'un geste rapide et efficace, agrippant sa taille tu inverse les positions et plaque son corps contre le mur. Tu laisses tes doigts glisser le long de sa silhouette, caressant sa peau pâle et douce alors que ton corps vient doucement rencontrer le sien, la bloquant ainsi. Rapprochant alors ton visage du sien, ta joue frôlant la sienne ton souffle vient s'écraser au creux de son oreille accompagnant les mots que tu murmures « La première et la dernière syllabe sonnent à peu près pareil. Tu sais, le genre de son qu'on produit lorsqu'on est surpris, ou qu'on a compris quelque chose.. Même si, je préfère la surprise » Tu souris en coin avant de venir mordiller le lobe de son oreille, tes doigts s'aventurant alors sur le bas de son ventre. « La syllabe du milieu, c'est l'endroit où la plupart des gens dorment où pratiquent une activité physique régulière. Si tu vois ce que je veux dire. »

J’ai beau chercher mais je ne me souvenais plus de son prénom. Si j’avais quelques indices, je m’en souviendrai. Je le savais, mais avec tout l’alcool, c’était un peu vide dans ma tête. Je n’aimais pas vraiment quand je ne me souvenais pas des lendemains de soirées, j’aimais m’en souvenir. C’était mieux. C’est tout naturellement que je retrouve la femme sur le balcon, j’avais oublié la case vêtement mais je m’en foutais. Je souris puis plaque son dos au mur, mon corps se collant au sien, je frissonnais. Je ne voulais qu’une chose : m’amuser. Et visiblement, c’était le cas de l’autre fille aussi. Vite fait, elle inversa les positions. Mon corps nu se cola au mur, ce qui me donna la chair de poule. Puis la blonde vient se coller contre moi, aie. Son visage s’approcha du mien et elle chuchota à mon oreille. « La première et la dernière syllabe sonnent à peu près pareil. Tu sais, le genre de son qu'on produit lorsqu'on est surpris, ou qu'on a compris quelque chose.. Même si, je préfère la surprise » Je commençais à réfléchir, j’avais son prénom sur le bout de la langue. Tandis qu’elle vient mordiller le lobe de mon oreille, ses mains s’aventurent sur le bas de mon ventre. « La syllabe du milieu, c'est l'endroit où la plupart des gens dorment où pratiquent une activité physique régulière. Si tu vois ce que je veux dire. » Il y eut un instant de silence, puis une lumière s’alluma dans ma tête. « Aleeha. Je le savais, je l’avais sur le bout de la langue. » Je passe mes mains sur ses joues, après m’être frotter à elle, je l’embrasse fougueusement, mélangeant ma langue à cette échange endiablé. A croire que j’avais encore envie d’elle. Je lui donne des coups de bassins, certains violents, d’autre doux. « Je crois que je suis restée sur ma faim hier soir. » Dis-je, provocatrice. Je voulais tester nos limites ou braver nos interdits, j’attendais avec impatience.

Oh elle le savait. Bien sûr. Tu t'es amusé à lui faire deviner, elle ne pouvait que trouver. Parce que tu savais que pour 'activité physique régulière' elle n'allait pas te dire la salle de sport. Non, elle sait à quoi tu pensais. Tu souris en coin à ses mots. Tu laisses ses lèvres venir se coller aux tiennes alors que vos langues entame une danse plutôt sensuelles. Un soupire puis un léger rire s'échappent de tes lèvres lorsqu'elle t'annonce être resté sur sa faim, ça tu n'y crois pas. Qu'elle en veuille encore, oui. Qu'elle soit resté sur sa faim, impossible, tu le saurais. Tu ne réponds cependant pas et t'empares à nouveau de ses lèvres au goût si sucré. Tu veux y goûter encore et encore. Tu soulève son corps, passant alors tes mains sous ses cuisses pour faire passer ses jambes autour de ta taille. Et sans lâcher ses lèvres tu retourne à l'intérieur, la portant avant de la laisser tomber sur le lit. Lit qui n'a pas eut le temps d'être refait. Tu romps le baiser en plaçant tes mains de chaque côté de son visage, baissant alors les yeux sur son corps dénudé, encore une fois. Tu l'observes avec plus d'attention cette fois ci. On ne peut pas dire que tu aie ramené la plus laide de la soirée hier. Un sourire en coin étire tes lèvres. « Alors comme ça, t'en as pas eut assez ? »

Bien sûr que j’en voulais plus, je m’étais amusée hier soir et gourmande comme j’étais, j’en voulais encore plus. C’est sans gêne que je lui dis clairement ce que je voulais, et elle le comprit. Nos lèvres se retrouvèrent et nos langues se lancèrent dans un balai lent et sensuel. Les mains d’Aleeha passent sous mes cuisses puis elle me souleva. Moi, je passe également mes bras autour de ses épaules et sans que nos lèvres se quittent, elle me dépose sur le lit encore défait. Les mains de la blonde se posent sur mon visage tandis que je la fixe, mordillant mes lèvres. « Alors comme ça, t'en as pas eut assez ? » Je passe ma langue sur mes lèvres. « Oui. Gourmande comme je suis, j’en veux encore plus bébé. » Je ne le connaissais que depuis hier, mais j’en voulais toujours plus. Voilà pourquoi je ne voulais plus avoir des coups d’un soir, je restais toujours sur ma faim. Mais là c’était diffèrent. Je passe mes jambes autour de sa taille et la rapproche brusquement de moi, frottant mon bassin au sien. Tandis que ma main se dépose derrière sa tête, je viens à nouveau voler ses lèvres mais cette fois-ci tendrement. « Donc oui, je n’en ai pas eu assez. »

Vous n'êtes pas debout depuis si longtemps que ça que vos corps sont déjà en contact avec tes draps. Elle en veut encore et tu ne peux pas dire que t'es contre, ce serait mentir. Il faut avoué que si elle est encore là c'est que la veille c'était pas si mal que ça, tu t'en souviens, vite fait, mais pas trop non plus, merci l'alcool et la clope.. et le reste. Qu'importe, ton regard vient se planter dans le sien alors qu'un sourire en coin étire tes lèvres. Elle n'en a pas eut assez, serait elle entrain de mentir ? Non, elle est juste putain de gourmande et toi .. t'es pas mieux. Alors sans même répondre à ses paroles tu fais glisser tes lèvres le long de sa mâchoire lentement avant de descendre le long de son cou, redécouvrant alors la douceur ainsi que le goût sucré de sa peau si pâle. Tu la déguste avec envie et douceur à la fois, tu ne te précipite pas, pas tout de suite. Laissant vos bassins se frotter entre eux. Tes doigts viennent se balader le long de ses côtes, effleurant sa peau, tu redessine chacun de ses traits, les courbes de son corps. Ta main finissant sa course sur sa hanche, glissant ensuite vers son ventre doucement tandis que tes lèvres continuent de parcourir sa peau de porcelaine. Tu ne veux pas plus en faire un coup d'un soir, mais la découvrir un peu, au moins un peu. Sans pour autant vous attacher. Tu veux juste jouer sur la sensualité plutôt que l'envie sauvage qui a dut vous animer la veille.